Il est très difficile pour une personne d'assimiler des informations, de les reproduire si elle a une faible concentration d'attention. Il n'est pas capable de se concentrer sur quoi que ce soit.
Pour les enfants du primaire, c'est normal. Chez l'adulte, cela se produit souvent en cas de fatigue, après un travail long et monotone, de maladie.
Si une personne est préoccupée par un problème, elle y consacre pleinement son attention et devient ainsi inattentive à ce qui se passe autour de lui.
Mais souvent, le patient, essayant de rassembler ses pensées, aggrave encore la situation. Il se fatigue rapidement et n'est pas loin de l'épuisement. Les étudiants avant les examens en sont un bon exemple. Toute la nuit, ils entassent des billets jusqu'à ce qu'ils se rendent compte qu'il est inutile d'apprendre davantage, car il n'est pas possible de se concentrer sur le matériel étudié.
L'insouciance chronique doit être identifiée dès que possible. Cela facilitera une conversation simple avec un spécialiste ou sous la forme de divers tests. Il est important de pouvoir distinguer la distraction ordinaire de la maladie mentale.
Une bonne nutrition, du repos, des promenades dans la nature, l'aromathérapie aideront à lutter contre la mauvaise concentration. Dans une large mesure, la méditation et un certain nombre d'autres exercices spéciaux aident à développer l'attention.